David

Sur le site de L'Aveyron Recrute, on a les offres tout de suite. On n’a pas besoin de taper sur #, *, 1, 2 ! Le site est très lisible, très simple, c’est ce qu’on cherche en fin de compte quand on a besoin de trouver du boulot.

Présentez-vous

Je travaille pour la société Sema Saveurs qui regroupe le Manoir Alexandre et l’autre entité sur la zone de Peyrolebades, avant tout une entité de fabrication. Nous fabriquons des produits autour du canard principalement : foie gras, confit de canard… mais aussi aligot, truffade, chou farci etc… L’entreprise compte environ une soixantaine de salariés. Je suis rentré en tant que livreur, il y a un an et demi, et je suis désormais commercial, depuis le 1er janvier, sur le secteur de l’Hérault auprès des grandes et moyennes surfaces, boucheries et épiceries fines.

Quelles ont été vos problématiques de recherche d’emploi jusqu’à présent ?

J’ai été à mon compte pendant plusieurs années dans la restauration. Et la dernière affaire que j’ai eue n’a pas très bien tourné, il a fallu qu’on arrête. Mon plus gros souci a été de me retrouver au chômage à 50 ans. J’ai eu vraiment de la chance de tomber sur Semenzin. Je connaissais déjà Patrick Sémenzin auparavant mais je ne savais pas qu’il cherchait quelqu’un en tant que livreur. Ça a permis de faire la rencontre et le déclic !

Se retrouver au chômage à 50 ans à Saint-Chély d’Aubrac, ce n’est pas évident. En plus avec un CV de plusieurs pages qui ne donne pas forcément la possibilité de trouver un travail rapidement dans nos régions.

Je n’avais pas le choix, il fallait trouver un emploi rapidement. Quand vous arrêtez et que vous êtes à votre compte, vous n’avez droit à rien du tout. Il faut trouver très rapidement. J’ai fait 15 jours dans un autre établissement avant d’être embauché chez Sémenzin.

Je pars du principe que lorsqu’on veut travailler, on trouve du boulot. Il y a du travail, regardez les offres d’emploi sur votre site. Le problème, c’est que les offres sont parfois trop spécialisées. Et les employeurs ont, pour certains, du mal à écouter quelqu’un qui n’a pas forcément la spécialisation recherchée et qui pourrait très bien correspondre. J’ai eu de la chance avec Patrick Sémenzin qui connaissait un peu mon parcours, il savait que j’étais dans le commerce. Et de mon côté, je ne me suis pas caché et je lui ai dit « si un jour; t’as quelque chose de commercial, ça m’intéresse ».

Comment procédez-vous pour rechercher un emploi ?

Je ne suis pas très fort sur internet. J’ai parcouru, sur mon téléphone, toutes les offres d’emploi qu’il y avait : Le Bon Coin, L’Aveyron Recrute et c’est comme ça que je suis tombée sur l’offre d’emploi de livreur pour la maison Sémenzin.

Comment avez-vous connu L’Aveyron Recrute ?

En cherchant. Ce qui est très bien, c’est que vous figurez dans les premiers sur internet lorsqu’on cherche un emploi en Aveyron. Pour quelqu’un comme moi qui n’a pas du tout l’habitude de pianoter sur les téléphones et les ordinateurs, c’est venu très rapidement.

Pouvez-vous nous parler de votre expérience de recrutement menée avec L’Aveyron Recrute?

J’ai fait passer un CV. Comme je connaissais Patrick, je me suis permis de l’appeler après avoir laissé passer un moment. Il avait trouvé quelqu’un et il m’a rappelé quelques jours après pour me dire que la personne qu’il avait trouvée ne convenait pas et me demander si j’étais disponible.

En quoi le dispositif répond-il à vos besoins ?

Le site est vraiment pratique. Il a une très bonne visibilité.
On n’a pas besoin d’aller à droite à gauche, on a les offres tout de suite. On n’a pas besoin de taper sur #, *, 1, 2 ! Sans dénigrer quoi que ce soit, avant de trouver une place quelconque sur d’autres sites, il faut taper le pédigré, le truc, le machin ! Votre site est très lisible, très simple, c’est ce qu’on cherche en fin de compte quand on a besoin de trouver du boulot. On a besoin d’avoir en face de soi quelque chose qui fonctionne rapidement. C’est concis et direct.

Une préconisation plus générique en matière de recrutement ?

Ayant été employeur de mon côté, j’ai les 2 visions et ce n’est pas toujours évident. Ce qui est difficile, c’est d’obtenir des réponses de la part des employeurs. Ne pas avoir de réponse, même négative, c’est un peu énervant. Mais je l’avoue en tant qu’employeur, je n’ai pas toujours donné suite. Parfois on n’a pas le temps, on est ailleurs.

source : interview du 1er février 2021